« Ma mère, être d’une intelligence exceptionnelle, était la plus belle fille de l’Alabama. » nous dit Truman Capote dans Un Noël.
Viens : au collège, Salomé parle de ses futures vacances de Noël avec son père et Étienne sait que rien n’est vrai : Son père est mort. Salomé ment. Il décide de lui écrire pour qu’elle lui réponde vraiment. Amis depuis l’enfance, ils ont onze ans, mais leur vie est dingue avec le père fou d’Étienne s’enfermant toujours dans la salle de bains, Salomé refusant la disparition de son père, mais aussi parce que ces deux-là n’arrêtent pas de se disputer et de se cacher la vérité. Salomé recevra la plus belle déclaration d’amour avant qu’Étienne lui propose d’aller au cinéma… attraper des poux.
Suivez-moi jeune homme, de Yaël Hassan : Thomas, jeune collégien handicapé, se retrouve seul sans amis durant les vacances de Noël. Un jour, bloqué devant son ascenseur en panne, il fait la connaissance d’un nouveau locataire, Bertrand Pavot, professeur de linguistique qui préside la Société Protectrice des Mots où Thomas rencontrera Mathieu, passionné d’écriture et de slam.
Nouvelles contemporaines, regards sur le monde, nous parle de May, architecte de la maison du bonheur, qui souhaite que la nuit de Noël réalise ses rêves.
Le Père Noël et les enfants du désert, ou, quand le Père Noël tombe en panne en plein désert et que se dévoile le contenu étrange de sa hotte…
Le Drôle de Noël de Scrooge, par Charles Dickens, est un classique : un égoïste avare au cœur sec va recevoir une leçon (voyager dans le passé et l’avenir) propice à le faire changer.
Parce que Noël se doit d’être enchanté, quoi de mieux qu’un album superbement illustré sur Merlin l’Enchanteur : La Légende de Merlin.
Mon préféré (moi, Fabrice du CDI) pour la fin : Les Contes de la rue Broca, par Pierre Gripari. Pleins de drôlerie et fantasques, ces contes vous entraînent dans un Paris magique et ensorcelé, pour le meilleur et pour le rire !